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Politique

Législatives 2018 : Quid de Maganga Moussavou, Ndaot Rembogo et Ndemezo'Obiang ?

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Si ces trois acteurs politiques ne sont engagés personnellement à aucun des deux scrutins jumelés, plusieurs membres de leurs formations politiques respectives sont allés se frotter aux autres candidats. Leur bilan comptable famélique au premier tour en fait de grands perdants.

DE nombreux candidats ont connu des mésaventures qui risquent de déteindre sur l'image de leurs leaders respectifs. Parmi ces derniers, Pierre-Claver Maganga Moussavou, Séraphin Ndaot Rembogo et René Ndemezo'Obiang, dont les formations politiques ont mordu la poussière dès le premier tour des législatives.

Si l'on s'en tient aux résultats rendus publics, Démocratie nouvelle (DN), le Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) et le Parti social démocratie (PSD) n'ont pas de quoi être fiers. Au point de faire croire qu'une nouvelle redistribution des cartes pourrait se faire au détriment de ceux qui, au sortir des élections présidentielles et du Dialogue politique de 2016 d'Angondjé, ont été propulsés au sommet de l'Etat.

Ce d'autant plus qu'ils ont hérité des postes de vice-président de la République, pour l'ancien maire de Mouila, Pierre-Claver Maganga Moussavou (PSD), de président du Conseil national de la démocratie (CND) pour Séraphin Ndaot Rembogo (PDS) et de président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) pour René Ndemezo'Obiang de DN.

Toutefois, avec un élu et deux ballottages au crédit du PSD, un ballottage pour DN, et ni élu, encore moins de candidats au second tour pour le parti de l'ancien maire de Port-Gentil, Me Ndaot Rembogo, la moisson est clairement ''insignifiante'' pour espérer continuer à occuper les strapontins actuels.





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