Malgré un contexte économique encore fragile, la filiale locale du groupe singapourien a clôturé l’exercice 2018 sur de belles performances en termes de résultats obtenus. L’année 2019 devrait être marquée par la poursuite des grands chantier en cours, indique son nouveau directeur général adjoint, dans cet entretien exclusif.
l'union. Vous aviez été promu, le 28 novembre 2018, au poste de directeur général adjoint d’Olam au Gabon. Pour permettre au public de mieux vous connaître, pourriez-vous parler de votre parcours professionnel ?Théophile Ogandaga : Je tiens tout d’abord à remercier le directeur général du groupe Olam au Gabon pour la confiance qu’il a placée en moi en me nommant à ce poste. Concernant mon parcours, après l’obtention de mon doctorat en physiques des particules à l’université de Nice-Sophia Antipolis, j’ai fait carrière pendant 16 ans à Shell au Gabon et aux Pays-Bas. J’y ai occupé plusieurs fonctions dont celles de géophysicien chargé des opérations, du traitement et de l’interprétation des données sismiques, de directeur chargé des nouvelles opportunités d’affaires, des relations avec le gouvernement et représentant au Gabon du département Exploration. Ensuite, j’ai quitté Shell en 2004 pour travailler pendant 6 ans au ministère des Mines et des Hydrocarbures, comme conseiller des différents ministres qui se sont succédé de 2004 à 2010. A partir de 2010, je participe à la mise en place du Partenariat public-privé (PPP) entre la République gabonaise et le groupe Olam, et à la mise en œuvre des projets qui ont donné naissance aux 9 business que notre société gère aujourd’hui. Dans ce cadre, j’ai occupé plusieurs fonctions dont celle de coordonnateur général du PPP entre la République gabonaise et le groupe Olam, d’administrateur général de l’Autorité administrative de la zone économique spéciale (Zes) de Nkok, de directeur général adjoint de Sotrader, puis de président directeur général de la même société. C’est ce dernier poste que j’occupais avant ma nomination à la fonction de directeur général adjoi... Propos recueillis par Maxime Serge MIHINDOU
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon économie