La cérémonie inaugurale, hier au palais de la présidence de la République, a été marquée par l'allocution attendue du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba.
LE dialogue politique s'est ouvert, hier, dans la salle d'apparat de la présidence de la République. C'est le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, avec à ses côtés la première dame, Sylvia Bongo Ondimba, qui a présidé la cérémonie solennelle d'ouverture de cette grande rencontre, prévue pour s'achever le 10 mai prochain.
René Ndemezo'o Obiang de Dynamique nouvelle (DN, opposition), Faustin Boukoubi du Parti démocfratique gabonais (PDG, majorité), le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet (président du Comité ad hoc paritaire), avant le président de la République, sont venus planter le décor des discussions qui s'annoncent comme le nouveau départ de l'histoire politique du pays.
« Cessons donc de chercher loin ce qui se trouve sous nos pieds », a déclaré solennellement Ali Bongo Ondimba. Dans un discours à forte tonalité historique, le chef de l'Etat est revenu sur les querelles ayant émaillé l'histoire politique du Gabon. Pour le chef de l'Etat, il n'y a pas de crise politique au Gabon, mais «une querelle de famille ».
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