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Société & Culture

Violences en milieu scolaire : le CLR dit " Stop''

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SUITE au phénomène de violence qui gagne le cercle de la jeunesse, particulièrement la jeunesse scolaire, un phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur dans notre société notamment avec les récents drames de Libreville et d'Oyem (des jeunes élèves ont froidement ôté la vie leurs condisciples), une équipe du Cercle des Libéraux réformateurs (CLR), parti de la Majorité présidentielle, conduite par la coordinatrice provinciale de l'Estuaire dudit parti, Pulchérie Abeme Nkoghé, a lancé mardi dernier au Lycée Djoué Dabany (LDD) de Libreville une campagne de sensibilisation des jeunes aux effets néfastes des violences en milieu scolaire et plus largement en milieu jeune

SUITE au phénomène de violence qui gagne le cercle de la jeunesse, particulièrement la jeunesse scolaire, un phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur dans notre société notamment avec les récents drames de Libreville et d'Oyem (des jeunes élèves ont froidement ôté la vie leurs condisciples), une équipe du Cercle des Libéraux réformateurs (CLR), parti de la Majorité présidentielle, conduite par la coordinatrice provinciale de l'Estuaire dudit parti, Pulchérie Abeme Nkoghé, a lancé mardi dernier au Lycée Djoué Dabany (LDD) de Libreville une campagne de sensibilisation des jeunes aux effets néfastes des violences en milieu scolaire et plus largement en milieu jeune. Placée sous le thème "  plus que jamais, disons tous stop à la violence au sein de notre jeunesse ", cette opération a commencé le 17 mars dernier en ligne. Elle comprend deux phases ; à savoir un concours de slam pour permettre aux jeunes eux-mêmes de s'exprimer sur le thème des violences et la phase de sensibilisation en présentiel inauguré à LDD.

Pour les responsables du CLR c'est "  une opération des plus opportunes en raison de la triste actualité défrayant sans cesse la chronique sur cette thématique. Ces événements tragiques démontrent à suffisance l'intérêt crucial que doit donner chaque citoyen à ce phénomène. Sa gravité et les dangers dont il est porteur menacent fortement l'avenir du Gabon, c'est-à-dire celui de nos compatriotes actifs de demain que sont nos enfants " . ont-ils relevé avant d'ajouter que "  L'actuel concours d'expression orale initié par notre Parti est une action parmi d'autres visant ce front commun contre ce qui s'apparente de plus en plus à un fléau, voire à un cancer lancinant et progressif contre la construction citoyenne de nos jeunes ".



Sveltana NTSAME NDONG



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