L'Atelier international de l'Organisation africaine des zones franches (AFZO) a réuni hier, à Libreville, les représentants de la trentaine de pays membres de cette structure autour de la thématique : “L'impact des zones franches dans l'atteinte des objectifs de développement économique durable”.
Ouvrant ces importantes assises, au nom du gouvernement, le ministre de l'Agriculture, de l'Elevage et de l'Alimentation chargé du programme Graine, Biendi Maganga-Moussavou (représentant son collègue de l'Economie) s'est réjoui du choix porté sur le Gabon pour abriter cet atelier international. Il a loué le rôle très actif et positif joué par l'AFZO dans la promotion et le développement des zones économiques spéciales en Afrique, la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok étant à cet effet la meilleure illustration.
Créée en 2012, la zone de Nkok inspire de nombreux enseignements dont « la formidable réussite qu'elle a contribué à structurer qu'est l'industrialisation de la filière bois, grâce à nombre d'implantations d'usines. Ainsi, le Gabon a transformé son secteur bois en moins de 10 ans, contribuant à la création de 3600 emplois directs », a souligné le ministre de l'Agriculture.
Relevant également « l'importance de la nécessité de voir coexister deux régimes fiscaux dans la même zone, grâce à l'adoption de la loi sur les zones d'investissements spéciales, à savoir le régime privilégié et le régime commun ».
E. NDONG-ASSEKO
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