La cérémonie inaugurale, hier au palais de la présidence de la République, a été marquée par l'allocution attendue du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba.
Un seul point était inscrit à l'ordre du jour du conseil municipal convoqué en session ordinaire le vendredi 28 avril dans la commune d'Owendo : l'examen et l'adoption du budget primitif de l'exercice 2017.
Pour le directeur du département des Affaires étrangères de cette région méridionale de Chine, aucun obstacle, a priori, ne s’oppose à la mise sur pied de partenariats entre sa province et les collectivités locales gabonaises.
Au programme, entre autres, un forum économique gabono-cubain destiné à croiser les expériences et à générer des projets d'investissements autant qu'à favoriser les vecteurs d'industrialisation.
LE ministre équatoguinéen en charge de l'Intégration régionale, Baltazar Engonga Edjo, a été reçu en audience par le chef de l'Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, mardi dernier
Les récentes déclarations du président, René Ndemezo'Obiang, n'ont pas plu. " Le dialogue politique national sans tabou " n'est visiblement pas du goût de tout le monde.
Au cours d'une conférence de presse animée, hier au siège de leur parti politique, le Rassemblement Héritage et Modernité, le président de ladite structure, Alexandre Barro Chambrier, et ses amis, sont revenus sur plusieurs sujets qui font l'actualité en ce moment.
Le Parlement a reçu, hier, des membres de la Cour des Comptes, le rapport général relatif au contrôle de l'exécution des lois de Finances, en vue du règlement du Budget de l'exercice 2015.
C'est l'une des décisions majeures de la 32e Assemblée paritaire ACP/UE qui s'est tenue, mercredi dernier, à Nairobi au Kenya. Les deux textes présentés, un par le Gabon et l'autre par les députés européens, ont été rejetés.
Dans un entretien exclusif accordé à notre rédaction récemment, le patron de la Fonction publique, Jean-Marie Ogandaga, revient sur les réformes entreprises dans son domaine depuis plusieurs années.
Pour le président de Démocratie nouvelle, sa participation au dialogue inclusif et sans tabou initié par Ali Bongo Ondimba se justifie par la nécessité d'asseoir des mécanismes à même d'améliorer notre système électoral et le fonctionnement politico-institutionnel de notre pays.