L'audition du ministre d'Etat en charge de l'Intérieur, Lambert-Noël Matha, samedi, d'abord par l'Assemblée Nationale et hier ensuite, par le Sénat, a débouché sur l'adoption du projet de loi permettant au gouvernement de prendre, pour des besoins de santé publique, toutes mesures de nature à prévenir, lutter et riposter contre les catastrophes sanitaires.

Des grandes surfaces aux marchés populaires, en passant par les foires-expositions de circonstance, la fièvre des fêtes de fin d'année est perceptible depuis le week-end écoulé. La pression sera, sans doute, à son comble ce lundi 31 décembre, annonciateur de l'année 2019.

C'est sous les lambris dorés de la salle des fêtes de l'hôtel Radisson Blu de Libreville que les membres de l'équipe du tout nouveau magazine gabonais "La Cithare" ont choisi de procéder au lancement des activités rédactionnelles et marketing de leur journal.

L'augmentation vertigineuse, ces derniers temps, du nombre de cas testés positifs au Covid-19 dans notre pays tend aujourd'hui à inspirer davantage un sentiment de peur au sein de la population, qui y voit un aller simple vers le chaos. D'où la réticence de certains à aller se faire dépister, ou même à se rendre dans des hôpitaux pour un quelconque malaise causant une montée de fièvre, la plus courante possible. Une situation due à un réel manque de sensibilisation à la maladie elle-même, lorsque celle-ci a commencé dans notre pays.

ILS sont dix agents de la Compagnie minière de l'Ogooué (Comilog) en poste à Owendo qui font valoir leurs droits à la retraite paisible.

C'est une question qui revient depuis cette fin d'année académique. D'aucuns se demandent déjà si les critères d'assiduité et de performance sont de retour ou s'il faudra continuer avec le système actuel : ''Bac = bourse'' victime, semble-t-il, de son succès.

"En matière de surveillance épidémiologique, sur les 525 prélèvements effectués, nous avons enregistré 47 nouveaux cas positifs", a annoncé le Copil mardi passé.

Symbole de leur intégration dans notre pays, et pour témoigner leur sympathie aux populations, les EFG viennent de donner fière allure à cette route, devenue complètement inaccessible, et qui menait au site de l'archidiocèse, dans cette partie nord de Libreville

C'est un vent noir qui semble souffler dans le monde gabonais de la communication avec la succession de décès enregistrée ces dernières semaines.

Malgré l'interdiction par le ministère de l'Intérieur, le lundi dernier, de la ''grande marche noire" qu'ils projetaient d'organiser, hier, à Libreville, en protestation aux mesures d'austérité du gouvernement, les leaders et membres des syndicats sous la bannière de la confédération Dynamique unitaire se sont rassemblés hier matin, comme prévu, au rond-point de la Démocratie. Au motif que, selon les dispositions de la loi N°1/2017, dans son article 3, les marches publiques sont autorisées en République gabonaise, sauf si l'autorité estime qu'il y a ''trouble à l'ordre public''.

Les développeurs de "Duk’oberi", "Mba’Ening" et "Ushann-Labs" qui se sont révélés lors de la 17e édition du hackathon national en 2018 autour des solutions e-santé à Libreville, ont pu, enfin, recevoir du projet eGabon, des équipements informatiques pour le développement de leurs applications respectives.

Le début des activités médicales de ces jours d'hommage a vu affluer, hier, des centaines de femmes à la polyclinique El-Rapha, œuvre de la défunte première dame du Gabon.