Nombre de partis politiques de l'opposition dite "modérée" ayant pris part au Dialogue politique digèrent mal la composition de la nouvelle équipe gouvernementale rendu public lundi dernier.
Pour la porte-parole de cet organe spécialisé du parti au pouvoir, la démarche des eurodéputés rame à contre-courant du processus d'apaisement du climat politique initié par les plus hautes autorités de la République.
En visite de travail dans notre pays, le représentant de la diplomatie marocaine s'est rendu hier chez son hôte du jour, le chef de l'Etat gabonais. Des sujets en rapport avec l'économie et les élections sur le continent étaient à l'ordre du jour de cette rencontre.
Seuls candidats en lice dans leurs sièges respectifs, Jean Massima, Blaise Louembé ou encore Régis Immongault Tatangani n’ont pas été inquiétés pour valider leurs élections au Bureau politique. Ce scrutin vient ainsi boucler les travaux relatifs au Conseil provincial ouvert samedi dernier à Koula-Moutou.
Ali Bongo Ondimba s'est dit déterminé à asseoir une nouvelle gouvernance fondée sur des réalisations concrètes et pragmatiques. Il importe désormais au gouvernement de s'approprier véritablement cette exigence du président de la République.
L'épouse du chef de l'Etat a elle-même montré l'exemple le week-end écoulé à l'école publique d'Okala, aux côtés de la mairesse de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda.
C’est la conséquence d'une fusion entre l’Alliance démocratique et républicaine (Adere, tendance Florentin Moussavou) et le Forum pour la démocratie et le progrès (FDP), de Jean-Aimé Moudodo.
Le ministre d'Etat en charge de la Famille, et par ailleurs cadre du département de la Douigny (Moabi), dans la province de la Nyanga, a présidé une réunion à la Chambre de Commerce de Libreville, mercredi, pour "discuter de l'actualité politique brûlante du moment : les Législatives à venir".
L'aile dissidente de l'Alliance démocratique et républicaine (Adère) dirigée par Victor Missanda a réagi hier, suite au report à avril 2018 des élections législatives par la Cour constitutionnelle.
Selon le nouveau président du Conseil économique et social, trois exigences principales guident le mandat qu’il a entamé hier. Le natif de Bitam entend donner une autre image à cette institution .