« Participer aux élections législations est inutile, car même en cas de cohabitation, le Premier ministre et le Parlement n'auront comme seul choix que d'obéir aux ordres du président de la République. »

Faute de n'avoir pas vu leur mandat renouvelé, ni prorogé, à ce jour, les députés actuels sont dans une situation assez cocasse.

Avec son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba, Faure Gnassigbé devrait explorer les voies et moyens de renforcer davantage l'axe Libreville-Lomé.

Le président de la République arabe d'Égypte, Abdel Fattah Al Sissi, a foulé le sol gabonais mercredi 16 août dernier. Accueilli par le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, son séjour a été marqué par un tête-à-tête avec son homologue Ali Bongo Ondimba.

C’est le principal sujet abordé dans cette série de rencontres initiées, depuis le mois dernier, par le secrétaire intérimaire du Parti démocratique gabonais (PDG), Eric Dodo Bouguendza.

Tel est l'objectif des assises qui se sont ouvertes, hier, au palais Léon-Mba. Lesquelles s'achèvent cet après-midi.

Ce qui aura constitué une nouveauté dans la tenue des conseils provinciaux du Parti démocratique gabonais (PDG), lancés depuis un mois, c'est le mode d'élection des cadres devant siéger au sein du Bureau politique, du Conseil national et du Comité central.

Arouna Adamou a, le week-end dernier, fait entrer le Gabon dans les pays visés par les djihadistes. Une première, en attendant les conclusions de l'enquête, qui fait craindre le pire, et qui en appelle à la vigilance à la fois des autorités compétentes et des populations.

Cette rencontre intervient après la confirmation de son élection au poste de membre du Bureau politique pour le compte de la ville de Mouila, chef-lieu de la province de la Ngounié. C'était à l'issue des travaux du 11e congrès ordinaire avancé du Parti démocratique gabonais (PDG).

En application des recommandations du Dialogue politique, en sa séance du 23 février dernier, le Conseil des ministres a adopté, entre autres, un projet d'ordonnance instituant désormais le département administratif comme base du siège de sénateur. Alors que par le passé, celle-ci s'étendait distinctement à la commune et au département.

Ce sont les leaders de 41 partis politiques sur les 44 qui se réclament de l'opposition gabonaise, toutes tendances confondues, qui ont procédé, hier, et de façon solennelle, à la remise du document y relatif à la secrétaire générale de ce département ministériel, Mme Judith Koumba Pemba Mombo.

Un nouveau gouvernement est attendu dans les jours à venir. C'est l'un des principaux enseignements de la décision rendue par la Cour constitutionnelle le 30 avril dernier.