Les décisions rendues par la Cour constitutionnelle auront permis de mettre en lumière la méconnaissance des textes de la part de bon nombre d'acteurs.
Le Rassemblement espoir pour la République (REPR), il faudra désormais vous y faire ! C'est la toute dernière née des formations politiques dans notre pays. Elle a été mise sur pied, récemment, par Aimé-Régis Renombo, au lendemain de sa fracassante démission du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), anciennement Rassemblement héritage et modernité (RHM).
Libreville accueille depuis le 10 janvier les experts des onze Etats membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC). Au menu de leur rencontre, examen et validation des projets de textes fondamentaux de l'institution sous-régionale.
De la réunion hebdomadaire du Conseil exécutif du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), tenue jeudi dernier, sous la présidence du leader de cette formation politique Alexandre Barro Chambrier, il ressort que cette instance a examiné et adopté le projet de budget du RPM pour l'année en cours.
Le Parti démocratique gabonais (PDG) a régné en maître absolu, les 3 et 10 février derniers, lors des élections des membres des bureaux des Conseils locaux, dans le département de la Passa (Franceville), dans la province du Haut-Ogooué.
Les militantes et militants du Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) de la province de l'Estuaire étaient réunis le week-end dernier, dans le 5e arrondissement de la commune de Libreville, pour la rentrée politique 2020 de leur parti politique pour le compte de ladite province.
Pierre-Claver Maganga Moussavou a fait, hier, une sortie médiatique. Face aux journalistes, l'ancien vice-président de la République a exprimé clairement son inquiétude face à la pandémie du coronavirus qui sévit dans le monde entier.
"L'union sacrée pour la République", prônée par le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, autour de la lutte contre le Covid-19, pourra-t-elle survivre aux réalités du combat politique ?
Les partis politiques réunis au sein de la ''Troisième voie" ont à nouveau effectué une sortie médiatique, récemment. Cette fois-ci, pour proposer au gouvernement des solutions en lien avec la lutte contre la pandémie de coronavirus (Covid-19) qui sévit actuellement au Gabon, où l'on compte désormais près de 2 000 cas testés positifs, selon les chiffres officiels.
La haute chambre du parlement a adopté en séance plénière aujourd’hui, à la date du 29 juin 2020, le nouveau Code pénal du Gabon. Parmi ses dispositions importantes, cette nouvelle loi abolit notamment la criminalisation des personnes d'identité LGBTQI que le pays avait précédemment et brièvement adoptée.
Tels sont les deux grands points inscrits à l'ordre du jour du 17e sommet ordinaire des chefs d'État et de gouvernement de la Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC) qui se tient aujourd'hui par visioconférence. Restrictions dictées par le nouveau coronavirus oblige ! Une rencontre de haut niveau, animée par le numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la CEEAC.
Réagissant à la décision de sa suspension pour une durée de trente jours, doublée d'une "traduction en conseil de discipline", Alexandre Désiré Tapoyo, délégué général adjoint 1 chargé de l'implantation et des stratégies électorales au Centre des libéraux réformateurs (CLR), s'est dit étonné et surpris par les agissements de Jean-Boniface Assélé, qu'il considère comme ''un père''.