Roger Dugardin, président et entraîneur d'Erco XV (à un moment, il faut savoir tout faire dans le rugby gabonais), a lâché, il y a quelques jours sur Facebook, dans un post titré : " Ce rugby que vous ne connaîtrez jamais", cette pensée teintée de nostalgie : "Au niveau médical, on avait toujours un rebouteux qui suivait l'équipe. Il savait remettre en place tout (...) chez un rugbyman. Et puis on se barbouillait de produits pour chauffer les muscles. Un peu d'huile de camphre, ça permettait de luire et parfumer le vestiaire. Un bon vestiaire de rugby devait sentir le camphre".