Le premier est relatif à la problématique du lien entre environnement, sécurité et développement durable ; tandis que le second se préoccupe de l’impact de l’emploi des jeunes sur la stabilité économique et sociale.

Le membre du Comité permanent du Bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG), par ailleurs maire de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda, a récemment organisé un séminaire de formation à l’endroit des militants de sa circonscription politique. Notamment, les membres des sections, comités et fédérations du 1er siège du 3e arrondissement de Libreville.

Invité le week-end dernier aux festivités marquant le premier anniversaire du parti, "Les Démocrates", cet universitaire qui se réclame de la société civile, a longuement développé le thème ''malentendu et controverses sur un agenda politique national''.

La mobilisation était au rendez-vous, lundi dernier à la Maison de la femme, à l'occasion du 50e anniversaire du Parti démocratique gabonais (PDG), formation politique créé le 12 mars 1968, par feu le président Omar Bongo Ondimba.

Hier à la Primature, il était question pour le chef du gouvernement et les membres de son équipe de faire l’état d’avancement des dossiers, à travers d'éventuelles conventions, les plans de financement et de communication.

''Les Démocrates'', parti politique de l'opposition et présidé par Guy Nzouba Ndama, a célébré, le samedi 10 mars dernier à son siège, sis au quartier Bas de Gué-Gué, dans le premier arrondissement de Libreville, son premier anniversaire.

Après avoir fait une analyse de la situation sociopolitique et économique actuelle du Gabon, l'Union socialiste progressiste (USP), parti politique se réclamant de l'opposition a, par la voix de son premier secrétaire,Henri Mbira Nze, proposé un certain nombre de pistes de solution.

C’est la conséquence d'une fusion entre l’Alliance démocratique et républicaine (Adere, tendance Florentin Moussavou) et le Forum pour la démocratie et le progrès (FDP), de Jean-Aimé Moudodo.

Le ministre congolais des Affaires étrangères s'est récemment entretenu avec le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba. Au menu, les questions en rapport avec le Conseil de la paix et de sécurité de l'Afrique centrale (COPAX).

Le sénateur du 1er siège du deuxième arrondissement de Libreville était face aux populations de sa circonscription électorale le week-end écoulé. Occasion pour lui de motiver sa position selon laquelle le camp politique de Jean Ping ne doit pas aller au prochain scrutin législatif.

Le chef de l'Etat centrafricain a eu un entretien, en tête-à-tête, avec son homologue gabonais Ai Bongo Ondimba. La rencontre a eu lieu au palais de la présidence de la République.

Dans la perspective des prochaines élections législatives prévues pour avril prochain, une délégation du bureau national de l'Union nationale (UN), l'un des principaux partis membres de la Coalition pour la nouvelle République (CNR), a, dernièrement, sillonné, la commune d'Akanda.