La rencontre entre le numéro un gabonais et son homologue de la République Démocratique du Congo (RDC) a eu lieu hier, à Franceville, dans la province du Haut-Ogooué.
Si le préalable de la composition des quatre commissions devant mener les débats du Dialogue politique a été d’entrée de jeu posé par les participants, il aura finalement fallu attendre plusieurs jours, presque une semaine, pour que les divers camps, en leur sein, se mettent d’accord.
La journée d’hier était censée marquer l’entrée en scène des politiques dans ces assises. Mais rien n'y a fait. Pas d’accès à l’information, longue attente, horaires non respectés.
Entre les visites médicales aux militantes du Parti démocratique gabonais (PDG) du 3e âge, une déclaration annonçant la mise à disposition d'un numéro vert et l'arrêt au Centre social de Nkembo, la journée du 17 avril à l'Union des femmes du PDG (UFPDG) aura été bien pleine.
L'actuelle ministre de l’Économie forestière estime que la procédure qui a conduit à son exclusion a été menée de manière cavalière au regard des textes qui régissent le fonctionnement de cette formation politique de l'opposition radicale.
Léonard She Okitundu, vice-Premier ministre de RDC aux Affaires étrangères, était porteur d'un message du président Joseph Kabila à son homologue gabonais Ali Bongo Ondimba.
Le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, a reçu un groupe de chercheurs allemands, introduits à son cabinet par l'ambassadeur d'Allemagne au Gabon, Burkhard Ducoffre.