D'une grève d'avertissement de huit jours, le mouvement d'humeur des agents des régies financières est passé à une grève générale illimitée depuis le week-end écoulé, décidée au sortir d'une assemblée générale et d'une conférence de presse.
Cette action de la Croix-Rouge gabonaise, soutenue par l'Union Européenne, vise l'amélioration de l'état de santé des femmes enceintes et des enfants de moins de 5 ans.
Les membres du Groupe de travail des femmes leaders pour la paix au Gabon (GTFLP-Gabon), organisation non gouvernementale (ONG) rassemblant des femmes de divers horizons, se sont retrouvés, samedi dernier, au stade d’Angondjé. C'était à la faveur de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Entre projections scolaires et grand public dans la soirée, c'est une affluence particulière - plus de 2500 entrées ! - qu'a connue l'événement cette année. Le ministre d'Etat en charge de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze, en a présidé la cérémonie de clôture.
Des réalisateurs, Jakob Preuss, Moritz Siebert, et Estephan Wagner, avec l'aide d'Aboubacar Sidibe, se sont saisis de ce sujet d'actualité pour en faire l'objet de films, à l'affiche à 14 h 30 ("Les sauteurs") et 16 heures ("Quand Paul traversa la mer") à l'Institut français de Libreville.
C'est l'objet du contrat de don, d'un montant de plus de 49 millions de francs signé hier à Libreville entre Masaaki Sato, ambassadeur du Japon, et Annette Pradeau, directrice dudit centre.
C’est la conséquence de la pluie diluvienne qui s’est abattue le week-end écoulé, dans la nuit de samedi à dimanche, faisant de nombreux sinistrés dans la plupart des quartiers de la ville.
Sur la base de témoignages transversaux, d'archives écrites et audiovisuelles, "Aziz'Inanga (Éclipse du clair de lune)" de la réalisatrice franco-gabonaise Alice Aterianus Owanga a fixé tout le monde.
A l'initiative du bureau régional de l'OMS pour l'Afrique, deux ateliers dans ce sens se tiennent à Libreville depuis hier, avec la participation des acteurs impliqués dans cette lutte.
Prévu ce lundi 20 novembre, le démarrage des cours en Licence 1 à l'Université Omar-Bongo (UOB) n'a finalement pas eu lieu. Non pas du fait des étudiants, qui étaient bien présents, mais des enseignants membres du Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec).
Le Bloc Démocratique populaire (BDP) a organisé samedi dernier une rencontre dont l’objectif était de montrer le bien-fondé des relèvements des droits universitaires.